Crypto taxation in China: Tout est interdit, donc pas d'impôts

Crypto taxation in China: Tout est interdit, donc pas d'impôts nov., 17 2025

En Chine, il n’y a pas d’impôts sur les cryptomonnaies. Pas parce que le gouvernement les ignore, mais parce qu’il les a interdites. Depuis le 1er juin 2025, posséder, échanger ou miner des cryptomonnaies est illégal. Pas une simple amende. Pas un simple déclaratif. Une interdiction totale, avec saisie des actifs et poursuites pénales possibles.

La Chine n’a jamais voulu de cryptomonnaies

Cela ne date pas d’hier. En 2009, la Banque populaire de Chine (PBOC) a déjà interdit l’usage des monnaies virtuelles pour acheter des biens réels. À l’époque, Bitcoin venait à peine de naître. Mais les autorités chinoises voyaient déjà le risque : une monnaie hors contrôle, hors du système étatique. Ce n’était pas une question d’impôts. C’était une question de pouvoir.

Les mesures se sont enchaînées. En 2013, les banques ont été interdites de traiter les transactions en Bitcoin. En 2017, les ICO ont été bannies. En 2021, les mineurs ont été chassés du pays. En 2025, le dernier coup de grâce : tout détenteur de cryptomonnaie est considéré comme en violation de la loi. Même si vous avez acheté du Bitcoin en 2017, même si vous l’avez stocké sur un portefeuille personnel, même si vous n’avez jamais vendu, vous êtes dans une zone grise légale - et dangereuse.

Pas de gain en capital, pas de revenu minier : rien n’est légal

Dans la plupart des pays, quand vous vendez du Bitcoin avec un profit, vous payez un impôt sur les gains en capital. Quand vous minez ou stakiez, vous déclarez les récompenses comme revenu. En Chine, ce n’est pas seulement interdit de déclarer. C’est interdit de faire.

Il n’existe pas de cadre fiscal pour les cryptomonnaies parce qu’il n’existe pas de cadre légal. Les autorités ne veulent pas taxer les cryptos. Elles veulent les éradiquer. Toute transaction est considérée comme une activité financière illégale. Toute valeur générée est traitée comme un produit du crime. Et les actifs sont confisqués - sans procès, sans compensation.

Même les entreprises qui pensaient avoir trouvé un angle mort ont été écrasées. Des plateformes d’échange ont été fermées. Des serveurs de minage ont été débranchés. Des comptes bancaires ont été gelés. Des citoyens ont été condamnés pour « financement illégal » simplement parce qu’ils avaient transféré des cryptos à un ami.

Les étrangers ne sont pas épargnés

Vous êtes touristes en Chine ? Vous avez des cryptos sur votre téléphone ? Vous êtes en danger. La loi ne fait pas de distinction entre Chinois et étrangers. Si vous utilisez une application d’échange, si vous envoyez des cryptos à quelqu’un, si vous essayez d’acheter quelque chose avec du Bitcoin à Shanghai ou Pékin - vous enfreignez la loi. La PBOC surveille les transactions transfrontalières. Les banques locales sont obligées de signaler tout mouvement suspect.

Les autorités utilisent des outils de traçage blockchain pour identifier les portefeuilles liés à des activités illégales. Même si vous n’avez pas de compte bancaire chinois, même si vous utilisez un VPN, même si vous pensez être anonyme - vous n’êtes pas invisible. La Chine a investi des milliards dans sa surveillance numérique. Les cryptomonnaies ne sont pas une faille. Elles sont une cible.

Un dragon yuan écrase des cryptomonnaies tandis que des citoyens suivent un paiement étatique.

Le yuan numérique : la seule monnaie digitale autorisée

La Chine n’est pas contre les monnaies numériques. Elle est contre les monnaies décentralisées. Ce qu’elle veut, c’est le yuan numérique - une version contrôlée, traçable, et centralisée de sa monnaie nationale. Le digital yuan est déjà utilisé par des millions de citoyens. Il est intégré aux applications de paiement comme WeChat Pay et Alipay. Il permet au gouvernement de suivre chaque transaction, de bloquer des paiements, de limiter les dépenses, de cibler les zones économiques.

C’est l’opposé total du Bitcoin. Le Bitcoin cherche à éliminer les intermédiaires. Le yuan numérique les renforce. Le Bitcoin est anonyme. Le yuan numérique est surveillé. Le Bitcoin est libre. Le yuan numérique est un outil de contrôle.

La Chine ne veut pas d’impôts sur les cryptos. Elle veut que les cryptos disparaissent. Et elle veut que tout l’argent numérique passe par son système.

Que se passe-t-il si vous avez des cryptos en Chine ?

Si vous êtes un particulier et que vous détenez des cryptos : vous êtes dans une zone grise. Techniquement, la loi ne dit pas « posséder est illégal ». Elle dit que « les activités de trading, d’échange et de minage sont interdites ». Mais les autorités n’hésitent pas à saisir des portefeuilles. Des cas ont été rapportés où des individus ont vu leurs cryptos transférées vers des comptes gouvernementaux sans explication.

Si vous êtes une entreprise : vous avez déjà été fermée. Aucune plateforme d’échange, aucun service de wallet, aucun projet de blockchain non approuvé par l’État ne peut opérer en Chine. Les entreprises qui tentent de contourner la loi risquent des amendes de plusieurs millions de yuans, la fermeture définitive, et la mise en prison des dirigeants.

Il n’y a pas de « déclaration volontaire ». Il n’y a pas de « régularisation ». Il n’y a pas de « délai de grâce ». La Chine n’offre pas de voie de sortie. Elle offre une porte fermée à clé.

Et si la Chine changeait d’avis ?

En juillet 2025, un débat a eu lieu à Shanghai sur les actifs numériques. Des responsables gouvernementaux ont discuté de la possibilité d’accepter certaines formes de stablecoins, ou de créer des cadres pour les tokens d’actifs réels (comme l’or ou l’immobilier tokenisés). Mais ce n’était qu’un débat. Aucune loi n’a été proposée. Aucun changement n’a été annoncé.

Même si la Chine changeait de position, ce ne serait pas pour revenir à un système de taxation. Ce serait pour créer un nouveau système de contrôle. Peut-être que dans cinq ans, vous pourrez acheter un token représentant une part d’usine d’État - mais seulement via une plateforme approuvée par la PBOC, avec KYC strict, et avec un impôt intégré dans le système. Ce ne serait pas une liberté. Ce serait une extension du contrôle.

Un touriste étranger est scanné par un œil numérique dans le métro de Pékin, son téléphone affiche un avertissement rouge.

Les autres pays font autrement

À Taiwan, les transactions en cryptos sont taxées à 5 % de TVA. Aux États-Unis, les gains en capital sont imposés jusqu’à 37 %. En France, vous déclarez chaque vente. En Allemagne, vous payez 0 % après un an de détention. Dans 50 pays, il existe des règles claires. La Chine est la seule à avoir choisi l’effacement total.

Ce n’est pas une stratégie fiscale. C’est une stratégie politique. La Chine ne veut pas que ses citoyens aient accès à une monnaie hors de son contrôle. Elle ne veut pas que les gens puissent transférer de la richesse à l’étranger sans son autorisation. Elle ne veut pas que des algorithmes remplacent les banques centrales.

Et donc, non - il n’y a pas d’impôts sur les cryptos en Chine. Parce qu’il n’y a pas de cryptos légaux.

Que faire si vous avez des actifs en Chine ?

Si vous vivez en Chine et que vous détenez des cryptos : consultez un avocat spécialisé en droit financier chinois. Ne tentez pas de vendre, d’échanger ou de transférer. Ne déclarez rien. Ne faites pas confiance aux forums en ligne. Les règles changent chaque mois. Les sanctions sont sévères.

Si vous êtes un investisseur étranger : ne mettez pas vos cryptos sur un échange chinois. Ne laissez pas vos fonds dans un portefeuille lié à un compte bancaire chinois. Ne confondez pas la technologie blockchain avec la liberté financière. En Chine, la technologie est un outil d’État. Pas un droit.

La Chine est une exception - et elle le restera

Le monde entier tente de réguler les cryptomonnaies. La Chine a choisi de les supprimer. Ce n’est pas une question de fiscalité. C’est une question de souveraineté. Et tant que la Banque populaire de Chine dirigera le système financier, il n’y aura pas de place pour le Bitcoin, l’Ethereum, ou toute autre monnaie qui échappe au contrôle.

Vous ne trouverez pas de guide pour déclarer vos cryptos en Chine. Parce qu’il n’y a rien à déclarer. Rien à payer. Rien à faire. Sauf peut-être… les retirer.

Est-ce légal de posséder des cryptomonnaies en Chine en 2025 ?

Techniquement, la loi chinoise ne mentionne pas explicitement la simple possession comme illégale. Mais aucune activité liée - échange, vente, minage, transfert - n’est autorisée. Les autorités saisissent les actifs, bloquent les portefeuilles, et poursuivent les détenteurs. La possession est donc dans une zone grise extrêmement risquée, sans aucune protection légale.

Dois-je déclarer mes cryptomonnaies à l’administration fiscale chinoise ?

Non, car il n’existe pas de cadre fiscal pour les cryptomonnaies en Chine. Les gains en capital, les récompenses de minage ou de staking ne sont pas reconnus comme revenus légaux. Toute activité liée aux cryptos est considérée comme illégale. Déclarer pourrait vous exposer à des poursuites pénales.

Quelles sont les sanctions pour violation de la loi sur les cryptos en Chine ?

Les sanctions varient selon la gravité : saisie des actifs, gel des comptes bancaires, amendes allant jusqu’à plusieurs millions de yuans, et en cas d’activité jugée comme « financement illégal » ou « fraude financière », des peines d’emprisonnement sont possibles. Les autorités utilisent des outils de traçage blockchain pour identifier les détenteurs.

Les étrangers sont-ils concernés par l’interdiction ?

Oui. La loi s’applique à tous sur le territoire chinois, quel que soit leur pays d’origine. Un touriste, un expatrié ou un travailleur étranger qui utilise, échange ou transfère des cryptos en Chine s’expose aux mêmes sanctions qu’un citoyen chinois : saisie, amendes, et poursuites.

Le yuan numérique remplace-t-il les cryptomonnaies ?

Oui, c’est l’objectif officiel. Le yuan numérique est une monnaie centrale, traçable et contrôlée par l’État. Contrairement au Bitcoin, il ne permet pas l’anonymat ni la décentralisation. Il est intégré aux applications de paiement courantes et vise à éliminer toute forme de monnaie privée, y compris les cryptomonnaies.

Y a-t-il un risque de changement de politique en 2026 ?

Des discussions ont eu lieu en juillet 2025 sur l’éventuelle acceptation de certains actifs numériques sous contrôle étatique, comme des stablecoins ou des tokens d’actifs réels. Mais aucune loi n’a été adoptée. Tout changement futur serait très probablement limité à des systèmes contrôlés par le gouvernement, et non une légalisation des cryptomonnaies décentralisées.

16 Commentaires

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    Sophie Spillone

    novembre 17, 2025 AT 11:11

    OH MON DIEU, J’AI LU CETTE ARTICLE ET J’AI CRIÉ À HAUTE VOIX DANS MON CANAPÉ 🤯 La Chine vient de transformer le Bitcoin en crime organisé… mais sans les gangsters, juste des gars qui ont acheté du BTC en 2017 et qui dorment maintenant avec un VPN sous l’oreiller. C’est du dystopique pur, genre Black Mirror mais avec des fonctionnaires en costume gris. J’adore. J’haïs. J’envie. J’ai peur.

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    Nicole Flores

    novembre 18, 2025 AT 18:02

    Ben voyons. Les Occidentaux paniquent parce qu’on leur prend leur jeu de cartes magiques. La Chine protège son peuple des arnaques. Vous croyez que le Bitcoin, c’est la liberté ? Non, c’est le chaos pour les nuls qui croient encore aux contes de fées. On a vu ce que ça donne aux USA : des gars qui vendent leurs reins pour acheter du Dogecoin. La Chine fait du bon boulot. 🇨🇳

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    Nathalie Verhaeghe

    novembre 19, 2025 AT 21:48

    Je vais être technique : il faut distinguer la simple possession de l’activité commerciale. La loi chinoise interdit les transactions, le minage et l’échange - mais ne mentionne pas explicitement la détention passive. Cependant, la pratique administrative est claire : tout portefeuille non déclaré (et impossible à déclarer) est considéré comme suspect. Les autorités utilisent des algorithmes de traçage sur la blockchain pour identifier les adresses liées à des exchanges étrangers. Résultat : même un simple HODLer peut se retrouver avec ses cryptos transférées à un compte officiel sans préavis. Il n’y a pas de recours légal. C’est un vide juridique total, et c’est très dangereux.

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    Danielle Kempf

    novembre 21, 2025 AT 03:05

    C’est une honte que des individus puissent encore défendre cette anarchie financière. La Chine agit avec rigueur et responsabilité. Toute forme de monnaie non contrôlée est une menace pour la stabilité sociale. Les citoyens doivent être protégés de ces tentations destructrices. Ce n’est pas une question de pouvoir, c’est une question de moralité. Que font les pays occidentaux ? Ils taxent, ils régulent… mais ils laissent faire. C’est irresponsable.

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    Elise Barthalow

    novembre 22, 2025 AT 06:37

    je vois ce que tu veux dire mais… c’est un peu comme interdire les livres parce que certains sont dangereux. la chine ne veut pas de liberté financière, elle veut de la sécurité. mais est-ce que la sécurité sans liberté vaut vraiment la peine ? 🤔

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    Sophie Wallner

    novembre 23, 2025 AT 10:50

    Oh, une autre âme perdue qui pense que la Chine est « oppressrice ». Désolée, mais si tu veux être libre, arrête de garder tes actifs dans un pays où tu n’as aucun droit. Tu ne peux pas avoir ta pizza et la manger aussi.

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    Monique Wasserman

    novembre 24, 2025 AT 11:26

    Il convient de souligner que la politique monétaire chinoise s’inscrit dans une logique de souveraineté financière absolue, qui constitue une réponse structurée aux dérives libérales des systèmes occidentaux. La décentralisation, en tant que principe, est intrinsèquement incompatible avec l’ordre étatique rationnel. Le yuan numérique, par sa nature algorithmique et son contrôle centralisé, incarne une évolution civilisationnelle supérieure.

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    Babette Silber

    novembre 25, 2025 AT 18:36

    La Chine est en train de créer le pire cauchemar de la Silicon Valley : une police financière qui sait où tu as mis tes satoshi. 😈 Et tu sais quoi ? Je les adore. Les gars qui disent « liberté » ont juste peur de perdre leur portefeuille. Moi, je veux un système où personne ne peut me voler, même pas moi-même. 💪🇨🇳

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    Tainá Viviane

    novembre 26, 2025 AT 02:33

    Il est important de noter que la non-taxe n’équivaut pas à la légalité. L’absence de cadre fiscal est une conséquence de l’interdiction totale, et non une opportunité. La confusion entre « pas d’impôt » et « autorisé » est courante, mais profondément erronée. Les détenteurs de cryptomonnaies en Chine sont en situation d’illégalité active, peu importe leur intention.

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    Frederic von

    novembre 27, 2025 AT 08:50

    J’ai vécu à Shanghai pendant deux ans. J’ai vu des amis perdre des dizaines de milliers de dollars en cryptos parce qu’ils ont essayé de les transférer. Les banques bloquent tout. Les apps de paiement refusent les transactions étrangères. Et si tu parles de ça en public, les gens te regardent comme si tu avais dit un truc interdit. C’est pas juste une loi. C’est une culture du silence. Personne ne parle. Personne ne sait ce qui va arriver. C’est flippant. Mais je comprends pourquoi ils font ça. Le contrôle, ici, c’est la paix. Pas la liberté. La paix.

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    Collin T.

    novembre 28, 2025 AT 04:22

    Vous croyez que la Chine est seule à surveiller ? Tu penses que l’UE ou les USA ne traquent pas les wallets ? Ils le font juste en douceur, avec des formulaires et des audits. La Chine, elle, va chez toi avec un ordinateur et un agent en costume. Les deux sont des prisons. L’une est en satin, l’autre en béton. Choisis ton enfer.

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    Thierry Mangin

    novembre 29, 2025 AT 12:59

    personnellement je pense que tout ça c’est du bluff. la chine a besoin du bitcoin pour blanchir de l'argent des corrupteurs. ils interdisent juste pour faire peur aux petits porteurs. les gros, ils ont leurs backdoors. c'est toujours comme ça dans les régimes autoritaires. tu crois qu'ils vont se priver de l'outil le plus puissant du monde moderne ? franchement

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    maxime plomion

    novembre 30, 2025 AT 04:02

    La Chine n’interdit pas les cryptos. Elle interdit les risques financiers non contrôlés. Point. Le yuan numérique est la seule monnaie digitale légitime. Tout le reste est du bruit. Si tu veux investir, utilise le système officiel. Sinon, ne joue pas avec le feu. C’est pas compliqué.

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    Rene Gomez

    novembre 30, 2025 AT 05:54

    Ok, j’ai lu ce truc en entier, et j’ai dû relire trois fois parce que j’étais choqué. La Chine, c’est comme si tu avais un parent qui t’a pris ton téléphone parce qu’il pensait que les réseaux sociaux te rendaient fou… sauf que là, c’est ton argent. Et il l’a jeté dans la poubelle. Sans explication. Sans procès. Sans même te dire « je t’aime ». Tu peux pas dire que c’est pour ton bien si tu te comportes comme un dictateur. Et je suis désolé, mais c’est ce que c’est. Le yuan numérique, c’est pas une monnaie. C’est un système de surveillance avec un code-barres. Et tu sais quoi ? Je ne veux pas vivre dans un monde où mon argent est un capteur de comportement. Je veux pouvoir être un peu anarchiste, même si c’est juste un peu. Même les pires systèmes ont besoin d’un peu de chaos pour rester humains.

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    Anne Georgiev Longuet

    décembre 1, 2025 AT 07:36

    Ça fait mal. Vraiment. J’ai des amis chinois qui ont perdu tout ce qu’ils avaient. Pas parce qu’ils ont triché. Parce qu’ils ont cru en la technologie. Et maintenant, ils ont peur de parler. De regarder leur téléphone. De penser. La Chine a tué la liberté numérique… et personne ne crie. Pourquoi ? Parce que tout le monde est trop fatigué. Ou trop peur. Ou les deux. Je pleure pour eux. 🥺

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    James Angove

    décembre 3, 2025 AT 00:59

    LA CHINE EST EN TRAIN DE RÉINVENTER LE FUTUR 🚀 Et vous, vous discutez des impôts ? Non. Vous discutez de l’avenir de la monnaie. Le yuan numérique, c’est le premier pas vers un monde où l’argent est intelligent, fluide, et contrôlé. C’est pas du contrôle. C’est de la gestion. Et je dis : bravo. Le monde a besoin de ça. On peut être libre ET organisé. La Chine le prouve. 💥🇨🇳

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