La FATF, l'Organisation de finance internationale qui fixe les normes mondiales contre le blanchiment d'argent. Also known as Groupe d'action financière, elle contrôle ce que les pays doivent imposer aux plateformes de cryptomonnaies pour rester dans la légalité. Ce n’est pas une suggestion. C’est une exigence. Si un échange ne suit pas ses règles, il est mis sur liste noire — et les banques du monde entier peuvent lui couper l’accès. C’est pour ça que des plateformes comme Yibi Exchange ou BitMEX doivent vérifier votre identité avant même que vous puissiez déposer un seul euro.
La FATF ne s’attaque pas qu’aux échanges. Elle cible aussi les stablecoins, des cryptomonnaies liées à des devises classiques comme l’euro ou le dollar. Also known as monnaies numériques à valeur stable, elles sont devenues le principal canal pour les transferts transfrontaliers. Mais la FATF les a classées comme des "vendeurs de valeurs". Cela signifie que chaque transaction au-dessus de 1 000 euros doit inclure les noms de l’expéditeur et du destinataire. Pas de mystère. Pas d’anonymat. Même si vous utilisez DAI sur Polygon, comme les Iraniens ou les Algériens, la trace reste obligatoire. Et ce n’est pas fini. Les transferts d’argent, les mouvements de fonds entre particuliers ou entreprises via la blockchain. Also known as envois de crypto, sont désormais traités comme des virements bancaires. Si vous envoyez des BTC à un ami à l’étranger, l’échange que vous utilisez doit collecter et conserver vos données pendant cinq ans. C’est la règle. Et les pays qui ne l’appliquent pas risquent d’être isolés financièrement. C’est pourquoi des projets comme SolvBTC ou Anypad doivent se conformer — même s’ils promettent des rendements ou des airdrops. La FATF ne fait pas de distinction entre "bonne" et "mauvaise" crypto. Elle voit juste des flux d’argent.
Vous avez peut-être entendu parler d’arnaques comme Antares crypto exchange ou TokenBot. Ce ne sont pas des erreurs de marketing. Ce sont des failles que la FATF essaie de combler. Les escrocs exploitent les zones d’ombre. La régulation veut les éradiquer. Mais en même temps, elle rend la vie plus dure pour les utilisateurs normaux. Pas de transactions rapides. Pas de confidentialité. Pas de contournement facile. C’est la réalité. Ce que vous allez trouver ici, c’est une collection de guides concrets : comment les pays comme le Qatar ou la Russie appliquent ces règles, pourquoi certains airdrops sont des pièges, et comment les gens réagissent quand la loi entre en collision avec la technologie. Pas de théorie. Pas de jargon. Juste ce que vous devez savoir pour ne pas vous faire avoir.
En 2025, la régulation des crypto-monnaies évolue rapidement avec des cadres clairs aux États-Unis, en Europe et en Asie. MiCAR, la règle de voyage de la FATF et les lois sur les stablecoins redéfinissent le marché. La clarté juridique attire les investisseurs institutionnels et transforme la conformité en avantage compétitif.