POP crypto : les cryptos oubliées, les arnaques et les projets risqués à éviter

Quand on parle de POP crypto, des cryptomonnaies qui font parler d’elles sans pour autant avoir de fondement technique ou économique. Also known as cryptomonnaies populaires, elles attirent les regards par leur nom flashy, leur hype sur les réseaux, mais souvent, elles n’ont rien derrière. Ce n’est pas parce qu’un token s’appelle « Doge Grok Companion » ou « Crustieno Renaldo » qu’il vaut quelque chose. La plupart de ces projets n’ont pas d’équipe, pas de code vérifiable, pas de communauté réelle — juste un slogan et un graphisme de mauvaise qualité.

Les memecoins, des cryptomonnaies créées pour le divertissement, souvent sans utilité réelle. Also known as coins sans valeur, ils sont conçus pour faire monter le prix rapidement, puis s’effondrer. Des exemples comme Poor Doge (PDOGE), un token présenté comme humanitaire mais avec un volume de trading nul ou HamsterChamp (HMC), un projet hamster sur Binance Smart Chain sans fondation sérieuse montrent à quel point ces projets sont des pièges. Ils ne servent qu’à enrichir les premiers acheteurs, tandis que les derniers arrivés perdent tout.

Et ce n’est pas seulement les memecoins. Certains échanges décentralisés, des plateformes de trading sans intermédiaire, mais souvent mal conçues ou abandonnées comme WardenSwap, un DEX sans audit, sans volume public et sans avis ou Sterling Finance, un protocole DeFi avec un token en chute libre et aucune activité de développement sont des fantômes. Ils n’ont pas de liquidité, pas de mises à jour, pas de support. Vous y déposez vos fonds, et vous ne les reverrez jamais.

Les cryptos abandonnées, des projets qui ont cessé toute activité depuis des années comme Freicoin (FRC), une crypto avec une taxe sur la détention, obsolète depuis 2014 ou Opnx, un échange spécialisé dans les créances de faillite qui a fermé en 2024, sont des pièges pour les curieux. Ils ressemblent à des projets actifs, mais leurs blockchains sont mortes, leurs tokens ne s’échangent plus, et leurs sites web sont des archives.

Vous trouverez ici une sélection de projets qui ont fait du bruit — mais pas de valeur. Des airdrops qui n’existent plus, des tokens fantômes comme BIIS (Ordinals), un BRC-20 qui n’a jamais existé, des échanges d’Afrique ou d’Asie sans transparence, et des « innovations » qui n’ont jamais été validées. Ce n’est pas un guide pour investir. C’est un guide pour éviter de perdre de l’argent. Si vous voyez un projet avec un nom ridicule, un volume de 10 $ par jour, et aucune preuve d’équipe, vous savez ce qu’il faut faire.