Quand on parle de Biis Ordinals, un projet d’inscriptions sur la blockchain Bitcoin qui prétend créer des NFT à partir de données textuelles. Ce n’est pas une nouvelle technologie, mais une réinvention maladroite du concept d’Ordinals, un protocole qui permet d’insérer des fichiers dans les satoshis de Bitcoin. Et contrairement à ce que certains croient, Biis Ordinals n’est pas une avancée — c’est une copie sans vision, sans équipe, et sans usage réel. Il fait partie de cette vague de jetons qui exploitent la popularité de Bitcoin pour attirer des spéculateurs, pas des utilisateurs.
Le vrai problème, c’est que Bitcoin NFT, un terme souvent mal utilisé pour désigner les inscriptions Ordinals, n’a jamais été conçu pour être un marché d’art ou de collection. Bitcoin est une monnaie, pas une plateforme d’affichage. Les inscriptions, comme celles de Biis Ordinals, prennent de la place sur un réseau déjà saturé, augmentent les frais, et ne créent aucune valeur économique. Des projets comme inscriptions Bitcoin, des données écrites directement dans les transactions Bitcoin, ont été testés, abandonnés, ou réduits à des memes sans liquidité. Comme Poor Doge, HamsterChamp ou MAGA DOGE, Biis Ordinals repose sur l’enthousiasme du moment, pas sur un besoin réel.
Regardez les chiffres : aucun volume significatif, aucune communauté active, aucune utilité concrète. Ce n’est pas un investissement, c’est un pari sur la prochaine vague de FOMO. Et comme avec Opnx, WardenSwap ou Bitrump, les projets sans transparence finissent par disparaître, laissant derrière eux des portefeuilles vides et des rumeurs creuses. Ce que vous trouverez ici, ce ne sont pas des guides pour gagner de l’argent avec Biis Ordinals — c’est une analyse honnête de ce qui ne marche pas. Des airdrops bidon, des échanges fantômes, des tokens sans valeur : vous verrez comment ces projets se ressemblent, et pourquoi il vaut mieux éviter ce genre de pièges. Ce n’est pas de la technologie. C’est de la manipulation.
BIIS (Ordinals) est présenté comme un token BRC-20 sur Bitcoin, mais aucune preuve vérifiable ne confirme son existence. Aucune inscription, aucun échange sérieux, aucune communauté. C’est un fantôme numérique, probablement une arnaque.