Chine, le plus grand marché de minage et l’un des plus stricts régulateurs de cryptomonnaies au monde. Aussi connue sous le nom de République populaire de Chine, elle a transformé la crypto de l’ère du minage sauvage à l’interdiction totale en moins de dix ans. Ce n’est pas un pays qui a simplement limité les crypto — c’est un pays qui a réécrit le manuel de la finance numérique.
En 2021, la Chine a fermé les mines de Bitcoin, déplacé des milliers de serveurs, et interdit aux banques d’accepter les transactions en crypto. Ce n’était pas une mesure temporaire. C’était une stratégie nationale. Le gouvernement voulait contrôler les flux de capitaux, protéger son système bancaire, et promouvoir son propre digital yuan. Depuis, les échanges comme BitMEX, une plateforme offshore populaire pour le trading à levier, ont perdu des millions d’utilisateurs chinois. Les airdrops comme BTH, un projet lié à un metaverse Play-to-Earn, n’ont jamais ciblé la Chine — pas parce qu’ils ne voulaient pas, mais parce qu’ils ne pouvaient pas.
La Chine ne bloque pas la technologie blockchain. Elle l’exploite. Son propre digital yuan, une monnaie numérique de banque centrale (CBDC) pilotée par la Banque populaire de Chine est devenu un modèle pour 100 autres pays. Les stablecoins comme DAI ou USDT sont interdits pour les particuliers, mais les entreprises peuvent les utiliser sous surveillance stricte. Résultat ? Les traders chinois utilisent des VPN, des P2P, et des plateformes comme Yibi Exchange, une plateforme régulée et simple, pour contourner les restrictions. Ce n’est pas de la rébellion — c’est de l’adaptation.
La Chine n’est pas un ennemi de la crypto. Elle en est le plus grand arbitre. Quand elle change de cap, les marchés tremblent. Quand elle se tait, les projets comme SolvBTC, un token Bitcoin liquide qui génère des rendements, voient leur prix flamber hors de Chine. Ce n’est pas une histoire de technologie. C’est une histoire de pouvoir, de contrôle, et de qui décide de ce que vaut l’argent.
Vous trouverez ici des analyses qui expliquent comment les décisions de Pékin ont fait fuir les échanges, poussé les innovations vers l’Afrique, l’Asie du Sud-Est, ou l’Iran. Des articles sur les plateformes qui ont survécu malgré l’interdiction, les airdrops qui ont ignoré la Chine, et les stablecoins qui sont devenus des outils de survie pour les citoyens. Pas de théorie. Pas de jargon. Juste ce qui s’est vraiment passé — et ce que ça signifie pour vous, même si vous n’habitez pas en Chine.
En Chine, les cryptomonnaies sont interdites depuis 2025. Pas d'impôts, pas de déclaration : tout est illégal. Voici comment fonctionne cette interdiction totale et pourquoi elle diffère de toutes les autres régulations mondiales.