Droits de streaming : ce que vous devez savoir sur les cryptomonnaies et les plateformes de contenu

Quand on parle de droits de streaming, les revenus générés par la diffusion en ligne de contenu audio ou vidéo. Also known as revenus de diffusion numérique, it désigne la manière dont les artistes, streamers ou créateurs sont rémunérés chaque fois que leur contenu est vu ou écouté. Ce n’est plus seulement une question de publicité ou de parts de chiffre d’affaires. Avec la blockchain, tout change. Des plateformes comme MagicCraft ou Sleepless AI testent des modèles où chaque visionnage génère un jeton, directement versé dans votre portefeuille. Pas d’intermédiaire. Pas de délais. Juste du code qui paie en temps réel.

Mais attention : derrière ce système idéal, il y a des pièges. Des projets comme Anonverse X CMC, un airdrop prétendu qui n’existe pas ou TokenBot, un bot d’airdrop frauduleux lié à CoinMarketCap utilisent le mot « streaming » pour attirer les gens. Ils promettent des revenus passifs, mais en réalité, ils veulent juste votre clé privée. Les vrais droits de streaming sur blockchain ne demandent pas de déposer des cryptos pour recevoir des jetons. Ils fonctionnent avec des contrats intelligents transparents, comme SolvBTC pour le Bitcoin ou DAI sur Polygon pour les transferts d’argent entre créateurs.

En 2025, les pays comme le Qatar ou l’Iran montrent que la régulation peut bloquer ou réinventer ces modèles. Là où les banques interdisent les cryptos, les utilisateurs contournent les restrictions avec des VPN et des stablecoins. Là où les lois sont claires, comme en Europe avec MiCAR, les plateformes comme Yibi Exchange intègrent des systèmes de rémunération transparents. Le vrai enjeu n’est pas de devenir riche en quelques clics. C’est de comprendre qui détient le contrôle : les plateformes centrales, ou vous, le créateur. Les articles ci-dessous vous montrent exactement ce qui fonctionne, ce qui est une arnaque, et comment protéger vos droits — même si vous ne vendez pas un seul NFT.