Quand vous vendez, échangez ou gagnez des cryptomonnaies, des actifs numériques soumis à des règles fiscales dans la plupart des pays occidentaux. Also known as actifs numériques, they are treated as property, not currency, for tax purposes. C’est simple : si vous avez fait un profit, l’État veut sa part. Pas de déclaration, pas de paiement, c’est comme si vous aviez caché un billet de 50 euros sous votre matelas — sauf que là, ils peuvent le retrouver grâce à vos transactions sur les exchanges.
Le revenu crypto, tout gain issu de la vente, de l’échange ou de la récompense d’une cryptomonnaie est taxable. Que ce soit un airdrop de 100 tokens, un gain sur un trade, ou même l’échange de Bitcoin contre Ethereum, chaque opération peut créer une obligation fiscale. Et contrairement à ce que beaucoup croient, vous n’avez pas besoin d’avoir converti en euros pour devoir payer : échanger une crypto contre une autre, c’est déjà une vente pour l’administration. En France, les gains sont soumis à un prélèvement forfaitaire de 30 % (12,8 % d’impôt + 17,2 % de prélèvements sociaux), sauf si vous optez pour le barème progressif — ce qui peut être plus avantageux si vos revenus sont faibles.
Le trading crypto, l’activité d’acheter et vendre des cryptomonnaies de façon répétée est un autre point sensible. Si vous faites cela souvent, l’administration peut vous classer comme professionnel. Et là, les règles changent : vous passez du régime des bénéfices non commerciaux (BNC) à celui des bénéfices industriels et commerciaux (BIC), avec des déclarations plus lourdes, des charges déductibles possibles, mais aussi une obligation de tenir une comptabilité rigoureuse. Beaucoup de gens ne le savent pas, et se retrouvent avec des redressements fiscaux de plusieurs milliers d’euros.
Et les pays comme la Chine ou l’Afghanistan ? Là, pas d’impôts — parce que c’est interdit. Pas de déclaration, pas de déclaration, pas de problème… sauf que vous risquez la prison. En France, en revanche, vous avez le droit de posséder, d’échanger, de spéculer — mais vous devez déclarer. La Banque de France et l’administration fiscale collaborent avec les exchanges pour obtenir vos données. Si vous avez utilisé Binance, Kraken ou Coinbase, ils ont déjà un dossier sur vous.
Vous avez gagné des NFT ? Vous avez reçu des tokens en échange de votre travail sur une plateforme DeFi ? Vous avez participé à un airdrop ? Tout ça compte. Même les cryptomonnaies abandonnées comme Freicoin ou BIIS — si vous les avez vendues, vous avez un gain. Et si vous les avez perdues ? Vous ne pouvez pas déduire la perte. C’est une règle dure, mais c’est la loi.
Voici ce que vous allez trouver ici : des analyses concrètes sur comment les gens déclarent (ou ne déclarent pas) leurs cryptos, des cas réels de pays où la fiscalité est différente — du Costa Rica à l’Égypte — et des avertissements sur les projets qui pourraient vous coûter plus cher en impôts qu’en investissement. On ne parle pas de théorie. On parle de ce que vous avez dans votre portefeuille, et de ce que l’État va vous demander l’année prochaine.
Au Royaume-Uni, les gains en crypto sont soumis à l'impôt sur les gains en capital (seuil à 3 000 £) et les revenus en crypto (staking, mining) à l'impôt sur le revenu. Les règles se sont durcies en 2025.