Interdiction crypto Afghanistan, la décision prise par les Taliban en 2021 d'interdire l'usage des cryptomonnaies sur tout le territoire afghan. Also known as blocage des transactions numériques, it a été annoncée comme un moyen de lutter contre le blanchiment et de contrôler l'économie, mais elle a surtout révélé une vérité simple : quand les gens n'ont pas d'autre choix, la technologie les suit. Les autorités afghanes ont interdit les échanges, les portefeuilles, et même l'utilisation de Bitcoin pour payer des services. Pourtant, des millions d'Afghans ont continué à utiliser des cryptos — pas par choix, mais par survie.
Le Taliban, le mouvement islamiste qui a repris le pouvoir en Afghanistan en août 2021. Also known as gouvernement islamique, it a imposé cette interdiction parce qu’il ne peut pas contrôler les flux d’argent en ligne. Mais les cryptomonnaies ne se laissent pas facilement bloquer. Des familles ont utilisé des stablecoins comme USDT et DAI pour recevoir de l’aide de l’étranger. Des commerçants ont payé leurs fournisseurs en Iran via des réseaux décentralisés. Même les travailleurs étrangers envoyant de l’argent à leurs familles ont trouvé des moyens de contourner les banques, souvent en utilisant des applications Telegram ou des VPN pour accéder à des DEX comme Uniswap sur Celo. Ce n’est pas de la rébellion. C’est de l’adaptation. Et ça montre que la régulation crypto, les lois et décisions gouvernementales visant à contrôler ou interdire l’usage des actifs numériques. Also known as cadre juridique des cryptos, it ne fonctionne pas quand elle ignore les besoins fondamentaux des gens. En Afghanistan, les gens n’avaient pas accès à leur propre argent dans les banques. Les transferts internationaux prenaient des semaines. L’inflation dévorait leurs économies. Les cryptos, même interdites, devenaient la seule issue.
Ce que l’interdiction crypto Afghanistan révèle, c’est que la blockchain n’est pas une mode. C’est un outil de résilience. Là où les systèmes traditionnels échouent, les réseaux décentralisés prennent le relais. Ce n’est pas une question de politique, mais de logique. Et cette logique, les Afghans l’ont comprise avant beaucoup d’autres. Ce que vous trouverez ici, c’est une collection d’articles qui explorent cette même dynamique : comment les gens contournent les interdictions, comment les plateformes comme BitMEX ou Yibi s’adaptent aux marchés sous pression, et pourquoi les airdrops ou les échanges comme WardenSwap deviennent des cibles ou des solutions selon le contexte. Vous y verrez des histoires réelles — pas des théories. Des gens qui ont trouvé un moyen de garder leur liberté financière, même quand le monde leur a fermé la porte.
Les talibans ont interdit la crypto en Afghanistan en 2022, arrêtant des centaines de citoyens qui utilisaient Bitcoin et USDT pour survivre. Une répression qui touche les plus pauvres, alors que le pays est en crise humanitaire.