Quand on parle de VC, investissement en capital-risque dans des projets à haut risque et haut potentiel, souvent dans les startups avant qu’elles ne soient connues du grand public. Also known as capital-risque, it est le moteur caché derrière beaucoup de projets crypto qui explosent — ou qui disparaissent en quelques mois. Ce n’est pas un mot à la mode. C’est l’argent de gens qui parient gros sur des idées qui n’ont pas encore de produit, pas de communauté, et parfois même pas d’équipe vérifiable. Dans les cryptos, le VC c’est ce qui fait que certains tokens apparaissent du jour au lendemain sur Binance, avec un site web pro, un whitepaper en anglais parfait, et un ton ultra-confiant… alors qu’ils n’ont rien derrière.
Les fonds de VC, des entités comme a16z, Polychain ou Hashed, qui investissent des millions dans des projets crypto en échange de tokens à prix cassé, ne cherchent pas à aider les petits investisseurs. Ils veulent des retours de 10x, 50x, 100x. Ils entrent tôt, ils obtiennent des tokens à 0,01 $, et ils les vendent dès que le prix monte à 0,10 $ ou 0,50 $. C’est comme si vous achetiez une action à la Bourse avant qu’elle ne soit cotée, puis vous la revendez dès qu’elle décolle — sauf que là, personne ne vous dit quand ils vont vendre. Et vous, vous êtes le dernier à entrer, juste avant le crash.
Regardez les projets listés ici : Zypher Network (POP), une crypto qui sécurise les agents IA, financée par des VC et présentée comme révolutionnaire, ou Polyhedra Network (ZKJ), une infrastructure blockchain basée sur des preuves à connaissance nulle, soutenue par des fonds sérieux. Ce sont des projets avec du VC — et pourtant, ils restent très techniques, peu liquides, et risqués. Même les airdrops, ces distributions gratuites de tokens pour attirer des utilisateurs, sont souvent orchestrés par des équipes qui ont déjà été financées par du VC. Ils vous donnent des tokens pour créer de la demande… puis ils les vendent en masse.
Le VC ne garantit pas la qualité. Il garantit juste que quelqu’un a mis de l’argent sur la table. Et parfois, ce quelqu’un, c’est un gars avec un bon réseau et un bon pitch, pas un développeur talentueux. Vous voyez VC dans un projet ? Posez-vous la question : qui a investi ? Quand ont-ils acheté ? Et surtout, ont-ils déjà vendu ? Les projets comme Sterling Finance, WardenSwap ou Opnx n’ont pas eu de VC sérieux — et ça se voit. Ils sont morts avant même d’être nés. Alors que d’autres, comme CANTO ou Zenon, ont un VC derrière eux, mais restent des projets niche, avec peu de volume et peu de liquidité. Le VC ne fait pas la valeur. Il fait juste le départ.
Ce que vous allez trouver ici, c’est une collection de projets crypto où le VC a joué un rôle — ou où il a manqué. Des airdrops financés par des fonds, des échanges créés par des start-ups avec du capital-risque, des tokens qui ont explosé puis effondrés, et d’autres qui n’ont jamais eu de chance parce que personne n’a cru en eux. Vous allez voir comment les VC influencent les prix, les rumeurs, et parfois, la survie d’un projet. Et vous allez apprendre à ne plus vous laisser berner par un logo joli et un nom qui sonne bien. Parce que dans les cryptos, ce n’est pas le VC qui fait la différence. C’est ce qu’il y a après.
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